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La citadelle de Québec, vers 1950

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Débutée en 1828, mais terminée seulement en 1856, la citadelle de Québec est en grande partie demeurée la même depuis, telle qu’on peut la voir sur cette image datant des années 1950. Elle abrite maintenant le QG du Royal 22e Régiment, surnommé « Van Doos » par les anglophones. (Bibliothèque du Ministère de la Défense nationale du Canada)

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Lit pliant de l’Armée britannique

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À compter de 1824, ce type de lit remplaça graduellement les couchettes doubles en bois dans les casernes. Chaque jour, le lit était plié et le matelas roulé en préparation de l’inspection. Army Circular Memorandum du 12 juin 1860.

Site: Défense Nationale

Char d'assaut de construction britannique, 1918

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En 1916, des véhicules blindés britanniques portant le nom de code « tank » apparurent sur les champs de bataille. Deux bataillons de soldats canadiens furent envoyés en Grande-Bretagne pour apprendre à conduire ces chars d’assaut. Le premier bataillon arriva en juin 1918 et le second au mois d’octobre suivant. Les bataillons furent dotés de chars britanniques Mk. V mais n’eurent pas le temps de monter au front; ils étaient à l’entraînement quand l’armistice fut signé en novembre 1918. Cette photographie montre presque certainement un des chars canadiens car il arbore la feuille d’érable et le nom de « Toronto » à l’avant. (Collection particulière)

Site: Défense Nationale

Corps cadet des Zouaves pontificaux canadiens, paroisse Sacré-Cœur, Chicoutimi, en 1924

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Au Canada français, les cadets étaient souvent rattachés aux Zouaves pontificaux canadiens. Ce groupe paramilitaire religieux francophone, fut fondé en 1899 par Charles-Edmond Rouleau. À ce moment, l'on croyait que les Zouaves étaient plus affiliés à la communauté canadienne-française, plutôt qu'à la Milice canadienne, commandée par les anglophones. Les uniformes des cadets étaient modellés sur celui des régiments Zouaves pontificaux, une unité volontaire faisant partie de l'armée de l'État papal. Environ 400 canadiens ont servi avec l'unité à Rome entre 1868 et 1870. (Lemay photo, 1924. Archives nationales du Québec à Chicoutimi, 68810)

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Matelot du NCSM Niobe de la Marine royale du Canada de 1910 à 1920

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Ce matelot est l'un des équipier du NCSM Niobe, le deuxième navire du Service naval du Canada (après 1911, la Marine royale du Canada). L'uniforme naval canadien était identique à celui de la Marine royale sauf, qu'au lieu du « HMS », sur le ruban d'identification de la coiffe, l'on retrouvait le sigle « HMCS », pour le Navire canadien de Sa Majesté. Le NCSM Niobe fut amarré dans le port d'Halifax, le 6 décembre 1917. Sept membres de l'équipage combattaient un feu à bord du navire Mont Blanc, lorsqu'il y eut la fameuse explosion à Halifax. La reconstitution de Ron Volstad. (Ministère de la Défense nationale du Canada)

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Artillerie de campagne montant au front, vers 1916-1918

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Durant la Première Guerre mondiale, les chevaux étaient encore essentiels, même sur le front occidental. Les camions avec des moteurs à gaz ou à vapeur commençaient à être pratiques et fiables sur les bons chemins mais le déplacement des objets lourds à travers les champs nécessitait un équipage de chevaux. Dans cette aquarelle, deux équipages de chevaux tirent deux canons de campagnes britanniques par-dessus un terrain vallonné. Notez que les hommes portent des casques d'acier, qui indique que cette peinture date plus tard que 1916. (Parcs Canada)

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Officier cadet du Collège militaire royal du Canada, 1954

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Sauf quelques détails, l'uniforme officiel des officiers cadets, du Collège militaire royal du Canada, situé à Kingston, en Ontario, est demeuré sensiblement le même depuis sa fondation, en 1874. Comme l'on démontre dans cette photo, datée de 1954, seuls les skakos et les casques coloniaux, portés par les officiers-cadets de la 1ère classe, ont disparus. Ils ont été remplacés par des casemates. (Ministère de la Défense nationale du Canada, ZK-2049)

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Commandant d'escadron Raymond Collishaw et des pilotes du 203è escadron, Royal Air Force, juillet 1918

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À la fin de la Première Guerre mondiale, les Canadiens composaient environ un quart de la Royal Air Force (RAF) britannique formée en avril 1918. Plus de 8 000 Canadiens servirent dans la RAF et dans les corps qui la précédèrent, le Royal Flying Corps (RFC) et le Royal Naval Air Service (RNAS). Cette photographie montre un célèbre pilote canadien, le commandant d'escadron Raymond Collishaw (1893-1975) en compagnie de pilotes britanniques à Allonville, en France, en juillet 1918. Les avions à l’arrière-plan sont des chasseurs Sopwith F. 1 « Camel ». (Bibliothèque et Archives du Canada, PA-002792)

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5ème Bataillon d’infanterie « (Western Cavalry) », CEC, Valenciennes, le 9 novembre 1918

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Valenciennes était une ville industrielle au nord de la France, près de la frontière belge, où se déroula la dernière grande bataille du Corps canadien en 1918. Cette aquarelle par l’artiste de guerre canadien Inglis Sheldon-Williams montre un groupe de fantassins canadiens qui avancent le long d’une route. Grâce à l’insigne qu’ils portent, le rectangle rouge de la première division surmonté par un cercle rouge du premier bataillon de la seconde brigade, l’unité se révèle être le 5ème bataillon d’infanterie (« Western Cavalry ») du Corps expéditionnaire canadien. Le bataillon portait le sous-titre de « Western Cavalry » ayant été formé avec des hommes provenant de régiments de cavalerie de milice dans l’ouest.

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Sir Eugène Fiset

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Sir Eugène Fiset (1874-1951) était médecin, soldat, sous-ministre de la Défense, député et lieutenant-gouverneur . (Collection particulière)

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