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Sergent du 66th Regiment « Princess Louise Fusiliers » vers 1912

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Formé officiellement en 1869, le 66e était une unité de Halifax qui incorporait des compagnies volontaires, ayants servi la colonie de la Nouvelle-Écosse depuis 1859. En 1879, l'unité a eu la permission d'adopter le nom de Son Altesse Royale la princesse Louise (1848 à 1939), fille de la reine Victoria. Celle-ci était la femme de Sir John Campbell, marquis de Lorne (1845 à 1914), le Gouverneur général du Canada de 1878 à 1883. Malgré leur titre, le 66th Regiment « Princess Louise Fusiliers » ne semble pas avoir adopté le bonnet à poil des fusiliers.

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Cavalier de The 17th Duke of York's Royal Canadian Hussars (Argenteuil Rangers) vers 1912

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Le 17th Duke of York's Royal Canadian Hussars (Argenteuil Rangers) était un descendant de la Royal Montreal Cavalry. Cette cavalerie anglophone a vu les services actifs de la Guerre de 1812 aux raids Fenians de 1870. Le 17e fut créé en 1897 de l'escadron A du 6th Duke of Connaught's Royal Canadian Hussars, qui a reçu la consigne du service distingué durant la Seconde Guerre mondiale. Ce soldat de la cavalerie porte la tunique bleue lacée d'une bordure jaune qui était le vêtement commun des régiments de la cavalerie legère de la Milice canadienne.

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La citadelle de Québec, vers 1950

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Débutée en 1828, mais terminée seulement en 1856, la citadelle de Québec est en grande partie demeurée la même depuis, telle qu’on peut la voir sur cette image datant des années 1950. Elle abrite maintenant le QG du Royal 22e Régiment, surnommé « Van Doos » par les anglophones. (Bibliothèque du Ministère de la Défense nationale du Canada)

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Lieutenant-général, l'honorable sir Sam Hughes, député

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Sir Sam Hughes (1853-1921), le controversé ministre de la Milice et de la Défense au début de la Première Guerre mondiale. Malgré sa passion pour les affaires militaires, son terme comme ministre fut un échec politique et militaire. (Bibliothèque du Ministère de la Défense nationale du Canada)

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Lit pliant de l’Armée britannique

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À compter de 1824, ce type de lit remplaça graduellement les couchettes doubles en bois dans les casernes. Chaque jour, le lit était plié et le matelas roulé en préparation de l’inspection. Army Circular Memorandum du 12 juin 1860.

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Sergent du Royal Canadian Horse Artillery vers 1912

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En 1905, les divisions montées du Royal Canadian Artillery se sont vues accorder le titre « Royal Canadian Horse Artillery ». Lors du changement de nom, ces deux batteries de la Force Permanentes (A à Kingston et B à la ville de Québec), furent équipées de canons de campagne à tir rapide de 13 livres. Les uniformes des troupes furent aussi modifiés, ressemblants aux uniformes que portaient les Royal Horse Artillery de la Grande Brétagne. Dans cette image du début du 20e siècle, l'on voit un sergent portant la grande tenue du régiment, avec le bonnet à poil ainsi que les gants blancs.

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Sergent cornemuseur du 48th Regiment (Highlanders) vers 1912

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Un nombre de Régiments de la milice canadienne adoptèrent la tenue ainsi que les traditions des régiments écossais « Highland », au milieu du 19e siècle. Le 48th Regiment (Highlanders), levé en 1891, fut l'un des seuls à éviter de copier le titre ainsi que la tenue d'un régiment régulier de l'Armée britannique. Cette gravure démontre un sergent cornemuseur, portant la veste Highland de couleur vert forêt, était particulier aux cornemuseurs (les autres du régiment portaient celui de couleur rouge). Le kilt est de tissu écossais « Davidson », tel que démontré très pauvrement dans cette gravure. Peu de temps après, les cornemuseurs du 48e adoptèrent principalement le tartan rouge « Stewart of Fingask », porté jusqu'à ce jour. Le régiment, actif encore aujourd'hui à Toronto, a une fiche impressionnante de services au deux Guerres mondiales. Il est le seul régiment au monde à conserver l'uniforme de grande tenue du bonnet, de la veste Highland et du kilt pour tous les rangs.

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Corps cadet des Zouaves pontificaux canadiens, paroisse Sacré-Cœur, Chicoutimi, en 1924

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Au Canada français, les cadets étaient souvent rattachés aux Zouaves pontificaux canadiens. Ce groupe paramilitaire religieux francophone, fut fondé en 1899 par Charles-Edmond Rouleau. À ce moment, l'on croyait que les Zouaves étaient plus affiliés à la communauté canadienne-française, plutôt qu'à la Milice canadienne, commandée par les anglophones. Les uniformes des cadets étaient modellés sur celui des régiments Zouaves pontificaux, une unité volontaire faisant partie de l'armée de l'État papal. Environ 400 canadiens ont servi avec l'unité à Rome entre 1868 et 1870. (Lemay photo, 1924. Archives nationales du Québec à Chicoutimi, 68810)

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Matelot du NCSM Niobe de la Marine royale du Canada de 1910 à 1920

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Ce matelot est l'un des équipier du NCSM Niobe, le deuxième navire du Service naval du Canada (après 1911, la Marine royale du Canada). L'uniforme naval canadien était identique à celui de la Marine royale sauf, qu'au lieu du « HMS », sur le ruban d'identification de la coiffe, l'on retrouvait le sigle « HMCS », pour le Navire canadien de Sa Majesté. Le NCSM Niobe fut amarré dans le port d'Halifax, le 6 décembre 1917. Sept membres de l'équipage combattaient un feu à bord du navire Mont Blanc, lorsqu'il y eut la fameuse explosion à Halifax. La reconstitution de Ron Volstad. (Ministère de la Défense nationale du Canada)

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Officier du 72nd Regiment, Seaforth Highlanders of Canada, à Vancouver vers 1912

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Ce régiment de Vancouver fut élevé en 1910 sous le nom du 72nd Highlanders of Canada. Ce numéro disponible (ayant été libéré par la dissolution d'une unité de la Nouvelle-Écosse), l'unité le pris et fut levée sous le titre de régiment Highland. Deux ans plus tard, la 72e unité s'est vu accorder la permission de copier le titre et l'uniforme du régiment britannique, qui avait le même numéro depuis de nombreuses années, sous le nom de Seaforth Highlanders. Cette gravure démontre un officier portant l'uniforme de grande tenue du 72nd Regiment, Seaforth Highlanders of Canada : des bas à carreaux, un kilt de tissu écossais au motif « Mackenzie », d'une veste rouge Highland, à revers jaune et un bonnet à plume. Cette façon, de copier les traditions britanniques, de la part des unités de la Milice canadienne était très commune à la fin du 19e siècle.

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