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Sujet > Soldats, guerriers et leaders > Population

Date > 1900 > 1910-1919

Le soldat Tom Longboat, célèbre coureur de fond autochtone, en juin 1917 - Le Canada et la Première Guerre mondiale

Type: Image

Une photographie du soldat Tom Longboat, célèbre coureur de fond, qui a facilité un système de communication des renseignements lors de la bataille de Passchendaele au cours de la Première Guerre mondiale.

Site: Bibliothèque et Archives Canada

Lieu historique national du Canada de la Maison-Riel : Thèmes historiques

Type: Document

Louis Riel est né à Saint-Boniface en 1844 et a fait ses études à Montréal. À son retour dans la colonie de la rivière Rouge, il trouva un peuple divisé, inquiet de son avenir politique.

Site: Parcs Canada

Lieu historique national du Canada de la Maison-Riel : Les Métis

Type: Document

Le terme Métis, tout comme 'mestizo', vient du mot latin 'mixticius', qui signifie « personne provenant d'origines raciales mixtes ». Toutefois, le terme n'est pas qu'une simple désignation raciale : il renvoie à une culture et à une nation qui a joué un rôle important dans l'histoire de l'Ouest canadien. Aujourd'hui, il prend place avec fierté dans la mosaïque des ethnies qui composent le pays.

Site: Parcs Canada

La Deuxième Guerre mondiale - Le capitaine de vaisseau Joseph Alfred Heenan

Type: DocumentImage

Joseph Alfred Heenan servit dans la Royal Navy pendant la Première Guerre mondiale et dans la Marine royale du Canada pendant la Seconde Guerre mondiale. Son plus grand défi s'avéra en 1942-1943 lorsque des sous-marins allemands s'aventurèrent dans les eaux canadiennes, dont le fleuve Saint-Laurent. On y trouve des photographies de son uniforme et ses médailles.

Site: Musée canadien de la guerre

Lieu historique national du Canada de la Maison-Riel

Type: Document

Ce lieu historique national du Canada est étroitement lié à l'histoire de Louis Riel, chef des Métis et un des fondateurs du Manitoba. Situé sur le lot 51 le long de la rivière Rouge, le lieu historique national de la Maison-Riel a longtemps été habité par la famille Riel; des descendants de la famille y sont restés jusqu'en 1969.

Site: Parcs Canada

Le Canada et la Preimière Guerre mondiale - Journaux de guerre - Évolution du Corps d'armée canadien

Type: Document

Fournit des ressources sur des renseignements non-disponibles dans la Collection des Journaux de guerre. Comporte de l'information concernant le Newfoundland Regiment (Régiment de Terre-Neuve) sur la Somme, l'origine des noms de batailles, les droits d'auteur des documents provenant des Journaux de guerre, ainsi qu'un glossaire de termes et abbréviations qui apparaissent dans les journaux.

Site: Bibliothèque et Archives Canada

Un bataillon canadien-français sur le front

Type: Son

L'historien Jean-Pierre Gagnon raconte la création de l'unité francophone de l'armée canadienne, le 22e bataillon ainsi que sa participation à la Première Guerre mondiale.

Site: Société Radio-Canada

Regard sur le passé - Soldats autochtones

Type: Document

Ce site Web offre quelques récits personnels courts et émouvants d'expérience de guerre d'anciens combattants autochtones.

Site: Anciens Combattants Canada

1914-1918 : Ukrainiens internés

Type: Son

Les descendants des prisonniers de guerre ukrainiens espèrent obtenir excuses et réparation de la part du gouvernement fédéral. Plusieurs Canadiens de descendance roumaine, slovaque, tchèque, hongroise, allemande et polonaise ont aussi été internés au cours de la Première Guerre mondiale.

Site: Société Radio-Canada

Foire aux questions - Pourquoi n'existe-t-il pas de journaux de guerre rédigés en français? - Le Canada et la Première Guerre mondiale

Type: Document

Présente les raisons derrière l'unilinguisme anglais des journaux de guerre canadiens. Essentiellement, les unités de soldats francophones oeuvraient au sein d'une hiérarchie militaire canadienne et impériale dont la langue de travail était l'anglais. Ces derniers devaient utiliser l'anglais pour communiquer avec d'autres unités et avec leurs supérieurs. Les unités francophones rédigeaient donc leurs journaux de guerre en anglais car elles devaient les soumettre aux autorités britanniques, et après 1916, au Bureau canadien des archives de guerre situé à Londres, où la langue de travail était l'anglais.

Site: Bibliothèque et Archives Canada