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Sujet > Soldats, guerriers et leaders > Rôles et professions

Date > 1600 > 1690-1699

Au son du tambour

Type: Document

Les villes fortifiées comme Québec, Montréal, Trois-Rivières et Louisbourg étaient toutes gouvernées par les militaires. Les vies des soldats français et des civils canadiens étaient régies par les différents battements de tambour de la garnison, de La Diane à l'aube à La Retraite au coucher du soleil.

Site: Défense Nationale

Les marines française et britannique

Type: Document

La Grande-Bretagne et la France avaient besoin de bons marins pour protéger leurs côtes, leurs flottes de pêche et leurs colonies. La France fut au sommet de son pouvoir naval dans les années 1690, quand elle dominait les côtes de l'Angleterre. Défaite en 1692, la qualité et la force de la marine française déclinèrent.

Site: Défense Nationale

L'élite militaire canadienne est née

Type: Document

Les officiers des Compagnies franches de la Marine s'assimilent de plus en plus au cours des années. Tôt ou tard, la majorité des ces hommes naissent dans la colonie et les officiers nés en France établissent des racines solides au Canada.

Site: Défense Nationale

L'état-major des places de guerre

Type: Document

Les centres administratifs de la Nouvelle-France: Québec, Montréal, Trois-Rivières, Louisbourg et Nouvelle-Orléans. Il ont chacun un gouverneur avec leurs employés. Ces employés étaient responsables de l'administration militaire de la ville.

Site: Défense Nationale

Le caractère de la milice

Type: Document

La participation de la population générale de la Nouvelle-France dans la milice devenait un lien important entre le gouvernement hiérarchique absolutiste et la population connue pour être fière et indépendante. Même si la participation était non volontaire, les hommes impliqués n'y voyaient pas de problème.

Site: Défense Nationale

Compagnies franches de la Marine au Canada

Type: Document

L'organisation des Compagnies franches de la Marine en Nouvelle-France variait en fonction du type de compagnie et la de la période. Cependant, elles avaient deux choses en commun: elles avaient un nombre supplémentaire d'officiers et étaient souvent à court de simples soldats.

Site: Défense Nationale

Sir William Phips devant Québec en octobre 1690

Type: Image

Sir William Phips (1650-1694) est représenté sur le pont d'un des navires loués par les colonies de Nouvelle-Angleterre pour transporter à Québec des miliciens du Massachusetts. C'est peut-être en arrivant à Québec, en octobre 1690, que Phips et ses officiers se rendent compte à quel point cette ville est une formidable forteresse naturelle.

Site: Défense Nationale

La paye du soldat

Type: Document

Le revenu d'un soldat en Nouvelle-France était très mince et resta fixe durant la période de 1680 à 1750. Après les déductions pour la nourriture, l'hébergement, l'habillement et d'autres items obligatoires, il restait seulement 15 des 108 livres gagnées. Pas beaucoup pour acheter quoi que ce soit.

Site: Défense Nationale

Le nom de guerre

Type: Document

Il était très commun d'avoir un surnom chez les civils qui faisaient partie de classe inférieure et chez les soldats français. Ces surnoms étaient inscrits sur les feuilles d'appel et faisaient souvent référence à l'ancien métier, au caractère, à l'apparence ou à la religion de l'individu.

Site: Défense Nationale

En route vers le dépôt des recrues

Type: Document

Une fois le contrat signé, les recrues étaient envoyées à une forteresse côtière sur une des îles de la France pour leur formation. Cet isolement rendait la désertion difficile. Ils étaient envoyés outre-mer après avoir apprit les compétences de base.

Site: Défense Nationale